Diplodus annularis (Linnaeus, 1758)
Méditerranée, Atlantique Est
SPARAILLON
sparaillon |
Critères de reconnaissance
Nageoires pelviennes et le début de
la nageoire anale de couleur jaune
Tache sombre en forme d’anneau presque complet sur le pédoncule caudal
Coloration générale gris argenté, avec des reflets jaunes
Tache sombre en forme d’anneau presque complet sur le pédoncule caudal
Coloration générale gris argenté, avec des reflets jaunes
Distribution
Méditerranée, mer Noire, Atlantique
Est, du golfe de Gascogne à Gibraltar, Canaries, Madère.
Biotope
Le sparaillon se rencontre
principalement dans les herbiers de posidonies. Néanmoins il n’est pas rare de
le rencontrer sur des fonds rocheux, des récifs artificiels ou dans des lagunes
où il affectionne les herbiers de zostères. Le sparaillon est aussi commun dans
les eaux calmes des ports.
Il se rencontre surtout dans la zone 0 – 15 m, toujours au dessus de la thermocline, même si des individus peuvent être rencontrés plus profond, notamment en hiver, à des profondeurs variables selon l’aire géographique (environ 30 m au nord, 90 m au sud).
Les larves de D. annularis peuvent entrer dans les lagunes et les estuaires au début de l’été, où elles grandissent. L’hiver venu, la capacité de nage des juvéniles n’est pas suffisante pour leur permettre de quitter les lagunes (qui sont des milieux hostiles l’hiver avec des températures qui peuvent descendre sous les 5°C). Ces juvéniles restent dans les lagunes généralement le premier hiver, avec un risque de mort si les températures descendent trop.
Il se rencontre surtout dans la zone 0 – 15 m, toujours au dessus de la thermocline, même si des individus peuvent être rencontrés plus profond, notamment en hiver, à des profondeurs variables selon l’aire géographique (environ 30 m au nord, 90 m au sud).
Les larves de D. annularis peuvent entrer dans les lagunes et les estuaires au début de l’été, où elles grandissent. L’hiver venu, la capacité de nage des juvéniles n’est pas suffisante pour leur permettre de quitter les lagunes (qui sont des milieux hostiles l’hiver avec des températures qui peuvent descendre sous les 5°C). Ces juvéniles restent dans les lagunes généralement le premier hiver, avec un risque de mort si les températures descendent trop.
Espèces ressemblantes
Diplodus annularis est souvent confondu avec Diplodus sargus (sar commun). Ce dernier a un opercule bordé de noir et la tache sombre sur
le pédoncule caudal est en forme de selle et n’atteint pas le bord inférieur du
pédoncule. Ses nageoires pelviennes et le bord de la caudale sont sombres (le
Guide Vigot montre ainsi une photo de D. sargus en illustration de D. annularis).
Diplodus annularis peut aussi être confondu avec le grondeur métis (Pomadasys incisus) lorsque celui-ci est présent sur la même zone. Cependant le grondeur ne possède pas de tâche noire operculaire, mais attention, il a les nageoires jaunes.
Diplodus annularis peut aussi être confondu avec le grondeur métis (Pomadasys incisus) lorsque celui-ci est présent sur la même zone. Cependant le grondeur ne possède pas de tâche noire operculaire, mais attention, il a les nageoires jaunes.
Autres noms scientifiques parfois utilisés, mais non valides
Sparus annularis Linnaeus, 1758
Source : http://doris.ffessm.fr/fiche2.asp?fiche_numero=487
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